Publié par CareerBuilder France le 8 juin 2011 dans Etudes, Information de presse | Pas de commentaire

Un tiers des employeurs français affirme avoir vérifié les dires d’un employé qui s’était fait porter pâle, selon les résultats d’une enquête de CareerBuilder.fr

- Les employeurs révèlent les excuses les plus inhabituelles données par les employés pour manquer un jour de travail -

Envie de se faire porter pâle pour profiter du soleil estival ? Notre étude montre que l’honnêteté est la meilleure stratégie. Un tiers (33 pour cent) des employeurs français déclare avoir vérifié les dires d’un employé qui avait pris un arrêt maladie. Dix pour cent ont déjà licencié un employé pour ne pas avoir donné de raison légitime à son absence au travail. Ce sondage d’envergure nationale a inclus plus de 100 responsables d’entreprise français.

Les employeurs soupçonnant des employés de feindre la maladie ont utilisé différentes tactiques pour enquêter sur la véritable raison de l’absence, surtout si l’employé est un récidiviste chronique. Dix-huit pour cent exigent un mot du médecin, tandis que 8 pour cent ont appelé l’employé ou demandé à un autre salarié de s’en charger.

« Feindre la maladie peut avoir de graves conséquences », met en garde Frédéric Woldanski, directeur général de CareerBuilder France. « Si vous avez besoin quitter le bureau quelque temps, il est important d’être honnête envers votre employeur. Gardez à l’esprit que plus de la moitié des employeurs admettent que leurs salariés utilisent les congés maladie pour fatigue intellectuelle, afin de décompresser et de se couper du bureau. »

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Lorsqu’on leur a demandé de partager des exemples d’excuses les plus inhabituelles données par des salariés pour manquer le travail, les employeurs européens ont évoqué les suivantes :

  • L’employé s’était coincé le pied dans les toilettes ;
  • L’employé affirmait qu’on lui avait jeté un nain de jardin par la fenêtre ;
  • L’employé prétendait avoir été attaqué par un requin ;
  • L’employé avait vu quelqu’un se faire pousser sous un train ;
  • L’employé avait fait un cauchemar et ne se sentait pas bien ;
  • L’employé s’était intoxiqué en brûlant des sarments ;
  • L’employé s’était coincé le doigt dans une portière ;
  • L’employé s’était blessé la jambe en courant après son chien pour l’empêcher d’attaquer un lapin ;
  • L’employé devait emmener sa mère faire des courses.

Dans un précédent sondage de CareerBuilder aux Etats-Unis, des responsables du personnel ont partagé quelques-unes des excuses les plus mémorables, entendues de la bouche même des employés :

  • L’employé affirmait qu’un poulet avait attaqué sa mère ;
  • L’employé s’était coincé le doigt dans une boule de bowling ;
  • L’employé s’était endormi à son bureau en travaillant et s’était cogné la tête, provoquant un torticolis ;
  • L’employé avait subi une greffe de cheveux qui avait mal tourné ;
  • L’employé disait ne pas se sentir très intelligent ce jour-là ;
  • L’employé prétendait qu’une vache avait débarqué dans sa maison ;
  • L’employé s’était brûlé la langue en mangeant une tarte à la citrouille ;
  • L’employé s’était fait porter pâle en appelant d’un bar à 5h du matin.

 

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